Page 41 - Construction d’une géométrie en Relativité [ebook] v5-1
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L’abscisse  x’ d’un point de l’espace à l’instant  t
          s’exprime par :
 Concernant l’homothétie :
 Après que nous ayons effectué la rotation et avant
 application de  l’homothétie,  le  sous  espace  vectoriel
 symétrique est identique (isomorphe) à une partie du
 sous espace réel (associée à l’axe de translation).  Il est alors possible d’appliquer les lois de la mécanique
 Le dual de ce sous espace symétrique est donc le   à un instant t, pendant un élément différentiel de temps
 même que celui de la partie correspondante du sous   dans le sous-espace réel du référentiel mobile, lois de la
 espace réel.  mécanique (définissant la vitesse et l’accélération) qui
          sont les mêmes que dans le référentiel fixe.
 Ce sont donc les mêmes lois de la mécanique qui
 s’appliqueraient dans l’espace supplémentaire et dans la   Il faut ensuite appliquer une homothétie de l’abscisse
 partie isomorphe de l’espace réel si nous en restions là.   du point correspondant de l’espace réel sur l’axe
          correspondant de l’espace supplémentaire ainsi qu’une
 Ensuite, nous appliquons simultanément l’homothétie   homothétie de son mouvement sur le même axe.
 aux vecteurs du sous- espace supplémentaire et aux
 éléments du dual c’est à dire, concrètement dans   Les difficultés habituelles de représentation de
 notre cas, aux paramètres de mouvement (vitesse et   l’espace  dans  des  référentiels  euclidiens  accélérés
 accélération) qui sont des applications linéaires et qui   proviennent du fait que la structure de l’espace est plus
 ont  été  calculés  dans  la  partie  du  sous  espace  réel   complexe que  l’image  qu’on  en  a  dans  le  référentiel
 correspondante du sous espace supplémentaire.  euclidien.

 Nous avons donc construit une description complète   Nous avons donc construit une adaptation de
 de l’espace et du mouvement dans le référentiel mobile   mécanique newtonienne au cas de l’invariance de la
 accéléré à un instant donné.  vitesse de la lumière. Cette adaptation est impossible
          dans le cadre de la théorie de Relativité d’Einstein en
 Au final, l’image de l’espace dans le sous-espace   raison d’une insuffisance de sa géométrie.
 supplémentaire, y compris le mouvement, se construisent
 à partir de la même homothétie d’une partie du sous-
 espace réel et du mouvement correspondant dans cette
 partie  du  sous-espace  réel.  Ainsi,  le  référentiel  mobile
 étant accéléré le long d’un axe, dans le sous-espace
 réel du référentiel mobile qui est le même que l’espace
 vectoriel contenu dans le référentiel fixe, l’expression
 du temps  t’ dans le référentiel mobile à l’instant  t du
 référentiel fixe s’exprime par :








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